Inheritance Games : que les jeux commencent !

Inheritance Games est une roman young adult écrit par Jennifer Lynn Barnes et sorti chez les éditions Pocket Jeunesse. Une saga également disponible en version audio chez Audible et lue par la talentueuse Audrey d’Hulstère. Une lectrice magistrale capable d’avoir une voix pour chaque personnage, de mettre le ton et la tension là où il faut. C’était mon premier livre audio et j’ai totalement accroché !

Inheritance Games, c’est l’histoire d’un oncle richissime un peu fou qui a décidé, à sa mort, de léguer tout ce qu’il possède (ou presque) à une parfaite étrangère. Cette fille, c’est Avery, une ado pauvre ayant une seule véritable amie et vivant chez sa demi-sœur après le décès de sa mère. Elle n’a qu’une envie : réussir à l’école pour pouvoir avoir un travail bien rémunéré et ne plus jamais connaître des soucis d’argent.

Quand elle est convoquée dans le bureau du directeur, Avery se demande bien pourquoi. Elle est loin de s’imaginer que sa vie va changer en quelques secondes. La voilà héritière de l’une des plus grosses fortunes du pays et comme si cela ne suffisait pas, la famille du défunt demande des explications et sera prête à tout pour récupérer ce qui lui est dû.

Pour toucher sa part d’héritage, Avery va devoir emménager dans la mystérieuse demeure des Hawthorne où elle côtoiera les quatre petits-fils du défunt, tous aussi insondables que séduisants… Avec eux, elle va suivre les pistes laissées par leur oncle pour tenter de comprendre pourquoi il lui a tout légué. Mais le jeu est dangereux et la jeune femme risque d’y perdre la vie…

Inheritance Games est un très bon livre avec du suspense, de l’action, des rebondissements et un peu de romance. Il aborde de nombreux thèmes avec justesse et nous tient en haleine jusqu’au bout. A la fin du premier tome, nous découvrirons une nouvelle surprise pour nous encourager à lire la suite, parce que même si certains mystères sont élucidés, on est encore loin du compte !

Un excellent premier tome qui pose les bases rapidement malgré quelques petits moments où j’avais envie de dire :  « allez, on avance là ! ». Certains personnages sont têtes à claques, mais ils pimentent l’histoire. L’héroïne est bien travaillée, les petits-fils aussi, mais j’aurais aimé avoir plus de passages avec la sœur d’Avery qui est emmenée dans tout ça et se sent un peu perdue. Je la trouve délaissée par sa sœur… Le gros plus de ce livre reste le manoir Hawthorne avec des passages secrets et ses pièces grandioses, on rêverait d’y aller !

En conclusion, un roman ado qui peut être lu par les adultes sans souci, des personnages excellents, une bonne intrigue, des rebondissements intéressants et une fin qui donne envie d’en savoir plus. Inheritance Games est un livre à découvrir assurément. Et si vous aimez les livres audio, foncez, vous ne serez pas déçus par la lectrice !

Les royaumes immobiles, une duologie renversante (article sans spoiler)

Voilà quelques temps déjà que je voyais la couverture de La princesse sans visage de Ariel Holzl (éditions Slalom) un peu partout sur le net et je dois avouer que je suis tombée amoureuse directement. Une fois entre mes mains, le relief, les couleurs… c’est encore plus sublime ! Le résumé étant très prometteur, je me suis lancée en espérant ne pas déçue et j’ai A-D-O-R-É-E ! Je me suis jetée sur le tome 2 dès sa sortie (oui, je rédige ma chronique très tard) et j’ai tout lu d’une traite.

Les royaumes immobiles de Ariel Holsl, c’est une duologie fantastique Young Adult avec un univers renversant, des personnages sombres et extrêmement bien travaillés. On plonge dans ce monde contrôlé par quatre monarques, représentant les quatre saisons, et on frissonne au fil de la lecture.

Dans le premier tome, La princesse sans visage, on comprend qu’il n’y a plus que trois monarques et qu’il faut que le trône d’Automne trouve un souverain sinon l’équilibre du monde sera rompu. Sept jeunes femmes vont alors concourir dans une compétition aussi vicieuse que cruelle. Parmi elles, Ivy, qui n’a pas demandé à être là et ne connaît rien du royaume ni de ses monarques. Pour cause, elle a vécu dans un manoir reculé dans la forêt et ne sait même pas qui sont ses parents. La seule chose dont elle est certaine, c’est qu’elle doit porter un masque, car quiconque voit son visage est pris d’une folie meurtrière ou suicidaire. Sympa, n’est-ce pas ?

Nous allons donc suivre la compétition, faire la rencontre de nombreux personnages et se demander comment diable Ivy va pouvoir survivre à tous ces complots et ces meurtres ! Un premier tome absolument renversant, un gros coup de cœur personnel. C’est prenant, intelligent, terriblement bien écrit, et les nombreux rebondissements réservent bien des surprises. A lire de toute urgence !

Le second tome, Le règne des Chimères, est encore plus sombre que le premier. La psychologie prend une place plus importante avec l’évolution des sentiments des différents personnages. L’auteur nous plonge dans la guerre tout en réservant, une fois encore, de beaux rebondissements à ses lecteurs. Il crée un monde dans un monde et nous permet d’en apprendre davantage sur les créatures qui peuplent Les royaumes immobiles.

Si j’ai un peu moins apprécié Le règne des Chimères, même s’il était très bien, c’est peut-être parce qu’il était un peu plus lent, à mon sentiment. Rien de plus normal vu la complexité de l’univers créé par Ariel Holzl qui cependant ne nous perd jamais. Chaque détail, chaque description arrive à point nommé et nous permet de naviguer dans cette duologie sans jamais se demander : « Attends, mais c’est qui lui déjà ? ». Le final est surprenant, c’est assez rare pour être mentionné, et il reste dans notre tête même après avoir fermé le livre.

En conclusion, Les royaumes immobiles est une sublime saga Young Adult à conseiller aux ados comme aux adultes. L’univers riche de l’auteur est une vraie bouffée d’air frais et il est clair et net que je vais me pencher sur ses autres écrits. Affaire à suivre…

Extrait :

Le masque est une armure.
Une armure qui protège les autres d’elle.
Qui que soient les intrus, une chose est certaine : ils ne méritent pas le même sort que Blanchisseuse.
Elle repense sans le vouloir à la mort de sa troisième servante. La seule personne à l’avoir jamais contemplée sans son masque.
Ivy frémit. Plutôt que de laisser le répugnant souvenir refaire surface, elle le refoule dans les profondeurs de sa mémoire. Puis elle se hâte jusqu’à la porte de derrière et gagne la cuisine. Elle doit découvrir l’identité des intrus. Avant qu’ils ne la débusquent.

Les chuchoteurs, la nouvelle saga d’Estelle Vagner qui va cartonner !

Le prince des oubliés est le premier tome de la saga Les chuchoteurs d’Estelle Vagner. Sorti le 29 avril dernier chez les éditions du Chat noir, ce roman d’urban-fantasy  est un coup de cœur assuré. On y rencontre Jonah et Lucas, des jumeaux de 16 ans, qui, du jour au lendemain, vont découvrir qu’ils ont un pouvoir exceptionnel… qui s’accompagne d’un danger tout aussi particulier.

J’avais découvert Estelle Vagner avec sa trilogie Kayla Marshall (avis ici), qui avait été un énorme coup de cœur pour moi, aussi quand j’ai vu ce livre j’ai foncé sans réfléchir… et j’ai eu raison ! Cette auteure est définitivement à suivre, ses intrigues sont à couper le souffle, ses personnages sont savamment travaillés et elle arrive toujours à surprendre le lecteur. C’est simple, un livre d’Estelle Vagner ne fait jamais long feu sur la table de chevet.

Les chuchoteurs est une nouvelle série absolument magistrale. L’univers créé est incroyable : des humains avec des aptitudes magiques liées aux éléments se livrent une guerre sans merci, sous le nez d’humains ordinaires. L’auteur fait un mini clin d’œil à Harry Potter avec l’un des personnages qui les appellent « les moldus ». Un chuchoteur commande aux éléments, mais ce n’est pas tout ! Afin de devenir plus puissant, il s’associe à une créature un peu particulière. C’est un animal qui, lorsqu’il est lié, peut communiquer avec lui, lui donner de la force et se battre à ses côtés. Un chuchoteur peut aussi tuer des créatures pour gagner plus de pouvoir.

Jonah et Lucas vont découvrir un beau jour l’univers des chuchoteurs et vont devoir rapidement chercher leur animal lié. Ils vont aller de découverte en découverte, et tout ne sera pas rose. Leur oncle, chez qui ils habitent, va les entraîner, mais on va vite voir qu’il a une préférence pour un des jumeaux. Ces deux-là, anciennement inséparables, vont prendre des chemins différents et évoluer selon ce qu’ils croient juste. Ils devront faire vite, car un chuchoteur d’une autre ligné veut les tuer pour récupérer leurs pouvoirs.

Estelle Vagner a bien développé les créatures, et on adore en savoir plus sur celles-ci. J’ai particulièrement adoré Maître Shadhahvar et son langage fleuri, tout comme la lapine et son incroyable secret.  L’auteur met de sa propre imagination, ajoute une pincée de Pokémons et un soupçon de créatures mythologiques, c’est juste fabuleux !

A côté de cela, l’intrigue est bien mise en place, avec des rebondissements pile où il faut. On suit Jonah, Lucas et leur ami Yannick avec impatience, on veut connaître le dénouement. Et celui-ci sera aussi exceptionnel que tout le reste du roman. On ne peut pas tout prévoir, c’est impossible, et c’est justement ce que j’adore avec cette auteure. Petite mention spéciale aux chapitres où l’on lit le journal intime du Prince des oubliés. C’est une super idée qui réserve bien des surprises…

L’écriture est magnifique, les personnages géniaux, les créatures exceptionnelles et l’intrigue à couper le souffle. Les chuchoteurs est un roman magistral, un concentré d’émotions fortes. Ce serait tellement génial de pouvoir le voir à l’écran ! Il ne reste plus qu’à attendre la suite, en espérant qu’elle sorte rapidement.

Extrait :

– On ne sait jamais à quel âge le pouvoir va être transmis, mais c’est arrivé. Vous êtes de chuchoteurs, explique-t-il. Vous pouvez désormais manipuler les éléments. Modeler, utiliser et déplacer l’eau, la terre, le feu. Créer des tempêtes, des tremblements de terre…

The Loop, la dystopie de Ben Oliver

Sorti le 28 mai dernier chez les éditions de La Martinière Jeunesse, The Loop est le premier tome d’une série dystopique addictive signée Ben Oliver. Le résumé alléchant et la couverture énigmatique donne le ton de cette histoire originale.

Résumé : Depuis que le monde est gouverné par une intelligence artificielle nommée Happy, les guerres ont disparu de la surface de la Terre.
Mais dans le Loop, la prison ultramoderne du District 86, les adolescents criminels sont soumis à une routine écrasante. Chaque jour, à l’heure de la Récolte, ils sont vidés de leur énergie afin d’alimenter le bâtiment en électricité. Et tous les six mois, lors des Reports, ils doivent faire un choix : servir de cobayes lors d’expériences scientifiques ou… mourir.
Jusqu’ici, Luka, Kina et Malachai ont eu de la chance : ils ont réchappé aux traitements expérimentaux qu’on leur a fait subir.
Cependant, les anomalies de fonctionnement du Loop se multiplient et on leur annonce un Report exceptionnel. Cette fois, leurs chances de survie seront minces… Très minces !
Alors Luka et ses amis décident de fuir. Mais qu’est donc devenu le monde qu’ils connaissaient ? Happy a-t-elle perdu le contrôle ? S’ils veulent retrouver leurs familles et sauver ce qui peut encore l’être, ils devront d’abord survivre au chaos qui semble avoir tout englouti…

Le premier tome d’une dystopie hallucinante et survitaminée, à la croisée de Prison Break, The Walking Dead et Hunger Games.

 

Mon avis : The Loop est un premier tome très réussit. Ben Oliver arrive à nous intéresser dès les premières pages grâce à une intrigue bien construite, des personnages attachants et un scénario original.

The Loop se passe dans un futur proche où la technologie a pris une place très importante dans le monde. Certaines personnes – les plus riches – sont modifiés artificiellement et deviennent ainsi plus « performantes ». Les plus pauvres restent des humains normaux et vivent dans des conditions abominables. Les crimes sont sévèrement sanctionnées par Happy, une intelligence artificielle, qui envoie les condamnés dans Le Loop, une prison presque totalement gérée par des machines.

Luka Kane est enfermé dans Le Loop. Pour éviter la peine de mort, il est obligé d’accepter de servir de cobaye pour des expériences plus ou moins dangereuses, qui lui permettent de gagner du temps avant la sentence finale. Cependant certains ne survivent pas aux greffes et autres tests… Pour l’instant, Luka a eu de la chance, mais cela risque fort de changer.

Dans The Loop, les détenus restent toujours seuls et ne rencontrent personne, à l’exception d’une modif’ (humaine modifiée) qui leur sert de gardienne. Ils la voient tous les jours pendant quelques minutes à l’heure du déjeuner, une idée de Happy pour montrer un minimum de compassion envers les humains. Ce que l’intelligence artificielle ne sait pas, c’est que Happy a créé un groupe : toutes les semaines, dans la nuit du mercredi au jeudi, lors d’une brèche dans le système informatique, la modif’ libère quelques détenus de confiance, dont Luka, pour qu’ils puissent parler, jouer etc.

Quand Luka et les autres réalisent qu’il y a des beugs dans Le Loop et que leur vie est encore plus en danger, ils mettent au point un plan pour s’échapper. Bien sûr, cela n’est pas possible… normalement. Sauf qu’ils vont avoir une opportunité inespérée qui leur permettra d’atteindre la ville. Super ? Eh bien non… Les rares personnes conscientes qu’ils croisent sont devenues des psychopathes qui affichent un sourire terrifiant en toutes circonstances. Les évadés vont-ils survivre à ce nouveau monde ? Rien n’est moins sûr…

Ben Oliver (Twitter)

The Loop est une histoire terriblement prenante. Le narrateur, Luka, est très attachant. Les scènes s’enchaînent, les rebondissements tombent à point nommé, rien n’est attendu. Un premier tome immersif qui nous tient en haleine du début à la fin ! J’ai beaucoup aimé le monde créé par Ben Oliver, d’autant plus que tout pourrait être vrai. A mi-chemin entre Hunger Games et Les âmes vagabondes, The Loop est une série dystopique sur laquelle il va falloir compter !

La fin se termine en cliffhanger, on est chamboulé par les péripéties de notre non-héros et on espère qu’il s’en sortira, ou pas d’ailleurs… Les machinations sont terrifiantes, les tortures bien trouvées. Ben Oliver réussit à écrire une série originale, que l’on verrait très bien adaptée en film. L’univers est riche, les personnages travaillées et le monde créé impressionnant. The Loop Tome 1 est vraiment un bon premier tome et j’espère que la suite sera à la hauteur.

Le projet Eden : une nouvelle dystopie bluffante !

Traquée est le premier tome de la saga Le projet Eden de C.C. Darcq. Sorti en décembre 2017 chez Rebelle éditions, cette pépite vaut la peine d’être découverte !

Résumé : Hope, jeune médecin, se retrouve contre toute attente catapultée au coeur d’une Traque cruelle, créée par les Voraces, ces morts-vivants ayant retrouvé une conscience. Elle va devoir tout faire pour s’en sortir, ne comptant que sur elle-même, mettant son Humanité en danger. Une semaine où elle tient son destin entre ses mains. Une semaine pour ressortir libre… ou esclave. Hope saura-t-elle survivre au coeur de la Traque ? Et qui est le mystérieux Vorace qui ne cesse de la poursuivre ?

Mon avis : Le projet Eden reprend les bases de la dystopie : un monde pas franchement glorieux, des personnages tourmentés au coeur d’un cauchemar, un événement qui va tout chambouler. 

Parlons d’abord de l’univers créé par C.C. Darcq : les Voraces (genre de zombies qui doivent prendre des médicaments pour rester civilisés) ont pris le pouvoir. Les Humains restant servent de nourriture et doivent tous les jours donner un morceau de leur chair. Les avancées scientifiques permettent de cicatriser leur peau très rapidement. Les Humains vivent dans un endroit reculé, sécurisé. Ils travaillent dans le monde des Voraces, vivent normalement, ou presque.

Chaque année, 8 Humains sont sélectionnés pour participer à « la semaine de la traque » avec des Voraces sélectionnés eux aussi. Les Humains doivent rester une semaine entière dans un endroit et se cacher. Au bout de la semaine, s’ils n’ont pas été capturés par les Voraces, ils repartent libres. Les personnes capturées, quant à elles, deviendront la propriété exclusive du Vorace qui les aura attrappées. Elles peuvent devenir personnel ménager, donneur de chair, ou encore mari/femme.

Alors oui, je vous vois venir : on dirait un peu du Hunger Games modifié. Oui, peut-être un peu. Et alors ? L’originalité reste présente et surtout l’écriture est franchement bluffante. On entre dans le livre et impossible d’en sortir. J’ai dû l’arrêter pour aller me coucher et je peux vous affirmer que j’ai rêvé de Voraces !

Passons maintenant aux personnages : Hope est une humaine médeçin. Elle est intelligente, indépendente. Elle est bien sûr au centre de l’intrigue puisqu’elle va se retrouver dans « l’arène », seule femme choisie parmi les humains et donc très prisée par les voraces participants. La semaine s’annonce rude pour elle, mais c’était sans compter la petite surprise des auteurs. J’avoue ne pas l’avoir vu venir et j’ai été ravie !

Je ne vous en dévoile pas plus, c’est déjà bien assez. Sachez juste que ce livre est un véritable page turner. J’ai adoré l’univers, les personnages, l’écriture de C.C. Darcq. C’est bien pensé, l’action est au rendez-vous, il n’y a pas de temps mort et on enchaîne les pages le plus vite possible.

J’ai hâte de lire le tome 2, que j’achèterai lors d’un prochain salon où la maison d’éditions sera présente. Je pourrais peut-être même m’offrir le tome 3, puisque sa sortie est prévue pour mai 2019 !

Pour récapituler : Un univers bien créé, des personnages attachants, une intrigue captivante et une écriture magnifique. Le projet Eden est un livre à ne surtout pas manquer !

Rouge Toxic : j’en redemande !

Rouge Toxic, le dernier né de Morgane Caussarieu, est sorti en février aux éditions ActuSF sous le label Naos. Un livre fantastique Young-Adult que j’ai adoré découvrir. Cette auteure a décidément une plume addictive !

Quatrième de couverture : Je m’appelle Faruk, et pour subsister, il me faut boire votre sang.Je vivais tranquillement ma non-vie dans les bas-fonds de San Francisco, quand ce type a débarqué pour me confier une mission difficile à refuser.
Me voilà sur les bancs de Mission High School, à suivre comme une ombre Barbie, une orpheline aussi intrigante que réfractaire à mes charmes. Et croyez?moi, survivre dans la jungle du lycée, ce n’est pas de tout repos, même pour un vampire. Surtout pour un vampire…
Mais d’elle ou de moi, qui sera le plus toxique ?

Découvrez mon avis sur Les Petits Livres by Small Things ici !

Extrait de ma chronique : « Si la première partie est sympathique, on ne rentre dans le vif du sujet que dans la seconde moitié du roman. J’ai tout simplement adoré les courses poursuites, les révélations, les rebondissements qui s’enchaînent sans nous laisser aucun répit. On passe du livre gentillet (c’est dit sans méchanceté bien sûr) Young Adult, à du bon dark comme je les aime. Meurtres, tortures et sang deviennent les maîtres mots, et quand le vaudou s’en mêle, c’est tout simplement un pur délice ! »

Ma vie cachée, le retour de Becca Fitzpatrick !

Après sa saga Hush hush, Becca Fitzpatrick revient avec un livre de young adult intitulé Ma vie Cachée. Sorti chez les éditions Pocket Jeunesse, ce roman aura de quoi vous tenir en haleine !

Quatrième de couverture : Témoin d’un meurtre, Stella est placée sous protection en attendant le procès. Elle se retrouve catapultée au milieu de nulle part, dans le Nebraska, sous une fausse identité. Son ancienne vie lui manque atrocement, surtout son petit ami, Reed. Elle refuse de reconstruire quoi que ce soit, persuadée que sa nouvelle situation en va pas durer. Mais lorsqu’elle rencontre Chet, il lui est difficile de ne pas sourire… et de garder pour elle son terrible secret.

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Extrait de ma chronique : « Ma vie cachée est un livre entraînant qui mélange habilement thriller et romance adolescente. L’équilibre est parfait, les personnages touchants, la plume envoûtante. Ce roman est un véritable page-turner, je l’ai lu en un après-midi ! Les émotions sont au rendez-vous, de même que l’action. On espère, on doute, on a peur. En bref, on entre de force dans l’univers de Becca Fitzpatrick et on finit avec une envie d’encore. »

Heartless : La véritable histoire de la Reine de Cœur d’Alice au pays des Merveilles

Marissa Meyer revient avec Heartless, publié en octobre dernier chez Pocket Jeunesse. Après sa célèbre saga des Chroniques Lunaires, l’auteure décide de revisiter le conte d’Alice au pays des Merveilles en s’appropriant l’histoire de la Reine de Cœur. Comment cette jeune femme si douce est-elle devenue la méchante Reine coupeuse de tête ? Réponse dans Heartless 😉

Quatrième de couverture : La Reine de Cœur n’a pas toujours été la terrible souveraine d’Alice au pays des merveilles. Avant d’être couronnée, elle s’appelait Catherine et rêvait de devenir la plus grande pâtissière du royaume. Mais le sort a décidé de lui jouer un vilain tour : le Roi de Cœur veut absolument l’épouser et les parents de Catherine, très ambitieux, placent de gros espoirs en cette union.
Catherine, elle, veut vivre librement et aimer celui qui fait battre son cœur : Badin, le bouffon du Roi.
Malheureusement au pays des merveilles, où s’entrechoquent magie, folie et monstres, les contes n’ont pas tous une fin heureuse…

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Extrait de ma chronique : « La revisite est vraiment réussie. L’intrigue tient la route, elle est même bien ficelée car certains rebondissements arriveront à nous prendre par surprise. La fin, bien qu’attendu puisque l’idée est de comprendre comment Catherine est devenue l’effroyable Reine de Cœur, n’en est pas moins bouleversante. C’est bien imaginé et surtout bien écrit. Les quelques 600 pages passent à une vitesse folle, le livre se dévore en un rien de temps. Heartless est un roman surprenant qui donne envie de découvrir les autres romans de l’auteure. »

Finding Cinderella : un spin-off réussi pour Colleen Hoover

Après Losing Hope et Hopeless, Colleen Hoover revient avec Finding Cinderella, un spin-off mettant en scène les deux meilleurs amis de Sky et Holder. Sorti en août chez Pocket Jeunesse, ce roman young-adult est captivant. L’auteur réussit à nous en mettre plein les yeux en 200 pages !

Quatrième de couverture : Quand, dans l’obscurité la plus totale, une inconnue tombe dans ses bras, Daniel a le premier coup de foudre de sa vie. Tous deux décident de vivre une histoire aussi courte qu’intense sans échanger leurs noms ni voir leurs visages. Quelques mois plus tard, alors que Daniel a perdu tout espoir de retrouver sa Cendrillon, il rencontre Six, la meilleure amie de Sky : deuxième coup de foudre. Mais Holder lui interdit formellement de tenter de la séduire… ce que Daniel va bien sûr prendre pour un défi à relever.

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Extrait de ma chronique : « Ce que j’ai le plus aimé sont les passages avec la famille de Daniel où il y a beaucoup d’humour. J’ai adoré les taquineries, les situations gênantes et les réactions imprévisibles des parents du jeune homme. Colleen Hoover manie les émotions avec brio et réussit à aborder des thèmes importants avec beaucoup de sincérité, le tout en seulement 200 pages. Bravo ! Un livre à la portée de tous les lecteurs friands de livre young-adult, même ceux qui ne connaissent pas encore l’auteure. »

Discutons de deuil avec Max + Becca

Après Charlie + Charlotte, Shannon Lee Alexander revient avec Max + Becca. Sorti chez Pocket Jeunesse le 15 juin, ce nouveau roman est encore une fois bouleversant et magnifique !

Quatrième de couverture : Il suffit parfois d’une personne pour se révéler à soi même.
Becca a toujours vécu dans sa bulle, entre ses livres et ses royaumes imaginaires. Sans son amie Charlotte, elle est plus solitaire que jamais. Jusqu’au jour où, en plein cours, elle trébuche sur Max… Il la remarque et comprend son désarroi. Il l’incite alors à faire du théâtre. À la surprise générale, Becca décroche le rôle principal.
Mais n’est-ce pas trop tôt, pour jouer Juliette sous les yeux de celui qui a tout d’un Roméo ?

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Extrait de ma chronique : « Avec son héroïne bouleversante, son héros attachant et son intrigue finement menée, Max + Becca est un très bon roman young-adult qui se lit d’une traite. L’auteure a fait un gros travail sur ses personnages, les rendant réels et réussissant à nous faire adorer les seconds rôles. Une écriture fluide, de l’émotion, de l’humour, une histoire addictive et un final magnifique : que demander de plus ? »